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Accueil / 2018

Année : 2018

Conférences passées

Maîtres et élèves à Paris au Moyen Âge : le cas de l’école cathédrale

17 décembre 20189 mars 2023

Conférence du 27 mars 2015 à l’Ecole des Chartes Cédric Giraud, maitre de conférences en Histoire médiévale à l’université de Lorraine. Comme pour toute école cathédrale, le chapitre de Notre-Dame…

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Conférences passées

Les vues perspectives de Notre-Dame de Paris en médailles, un corpus méconnu

17 décembre 20189 mars 2023

Par Inès Villela-Petit, conservatrice au Cabinet des médailles et antiques de la Bibliothèque nationale de France.  Mercredi 22 mai 2019, 17 heures, Institut d’art et d’archéologie, 3 rue Michelet, 75006…

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Conférences passées

L’hôtel des archevêques de Sens, un geste architectural provocateur à l’ombre des tours de Notre-Dame

17 décembre 20189 mars 2023

Par Thomas Morel, conservateur du patrimoine, directeur des musées de Château-Thierry Avril 2019 (la date et le lieu seront communiqués prochainement)

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Nos positions

« Pourquoi (et comment) sauver notre patrimoine »

14 septembre 20183 avril 2024

Tribune de Jean-Michel Leniaud parue dans Le Figaro du 14 septembre 2018 : un appel pour une nouvelle politique du patrimoine. Le président de la République suscite un ambitieux programme…

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Conférences passées

Création, piété et politique : les Mays de Notre-Dame de Paris

9 février 20189 mars 2023

Conférence d’Elodie Vaysse du 9 février 2018 Exceptionnel conservatoire de la peinture française du XVIIe siècle, les Mays de Notre-Dame de Paris ont fait l’objet de nombreuses études scientifiques, de…

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Personnage et chimère de Notre-Dame

ARTICLES RÉCENTS

  • La restauration des Mays de Notre-Dame

    Conférences passées

    « Comment les Mays de Notre-Dame ont-ils été restaurés ? » : le 9 avril 2025 à 18h, une conférence sur la restauration des Mays de Notre-Dame a été donnée par Laurence Mugniot, restauratrice de peintures. Suite à l’incendie de Notre-Dame et en parallèle du grand chantier de restauration du bâtiment, un programme de restauration des tableaux qui y étaient exposés a été lancé. Il a concerné une vingtaine de peintures sur toile de grand et très grand format, comprenant notamment un certain nombre des célèbres Mays, chefs d’œuvre du XVIIe siècle. Plusieurs équipes ont été réunies pour ce travail et ont rassemblé une cinquantaine de restaurateurs pour réaliser cette tâche en deux ans. Ont été présentées les restaurations effectuées par l’une de ces équipes sur huit peintures peintes notamment par Sébastien Bourdon, Gabriel Blanchard ou Claude-Guy Hallé. Intervenants : Marie-Hélène Didier, conservateur général du patrimoine Laurence Mugniot, restauratrice de peinture Aurèle Caudan-Vila ou Antoine Leménager, Atelier Centaure, restaurateurs de support toile La conférence a eu lieu à l’INHA, salle Walter Benjamin, à 18 h.

     
  • « Notre-Dame avant Viollet-le-Duc, l’œuvre du sculpteur J.-B. Plantar »

    Conférences passées

    Le jeudi 27 février 2025, Justine Gain, Slifka Foundation Interdisciplinary Senior Fellow, The Metropolitan of Art, New York, docteur en histoire de l’art PSL/EPHE, est venue donner une conférence sur « Notre-Dame avant Viollet-le-Duc, l’œuvre de Jean-Baptiste Plantar (1790-1879), sculpteur ». …/… S’agissant de l’ouvrage monumental, et hautement symbolique, que constitue la cathédrale Notre-Dame de Paris, il est d’usage de lire dans les publications qui concernent sa restauration au xixe siècle des passages extrêmement succincts sur les décennies qui précédèrent l’arrivée d’Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879) et de Jean-Baptiste Lassus (1807-1857) sur le chantier, en 1844. Pourtant, pendant près d’une trentaine d’années, l’édifice, son réaménagement et de fait sa restauration furent à la charge d’Étienne-Hippolyte Godde (1781-1869), architecte responsable des édifices religieux – nouveaux comme anciens – de la capitale. À ses côtés, Jean-Baptiste Plantar (1790-1879), ornemaniste et sculpteur des Bâtiments du Roi, se distinguait alors par ses nombreuses réalisations au Louvre, aux Tuileries (où il se lia d’ailleurs d’amitié avec le jeune Viollet-le-Duc), ainsi qu’à Versailles, où il sculptait déjà d’ambitieux décors monumentaux empreints de classicisme, mais aussi de cet éclectisme naissant au tournant des années 1820. En parallèle, il mena une intense activité de restaurateur : à la cathédrale de Reims par exemple, mais aussi dans les nombreuses églises parisiennes, où il intervint durant la Restauration, puis la monarchie de Juillet, sous la direction de son ami Étienne-Hippolyte Godde. Cette collaboration résultait en fait d’un système administratif établi depuis la Révolution française : la Direction des travaux d’architecture du département de la Seine et de la Ville de Paris. Au sein de celle-ci, l’architecte devait acquérir une position stratégique, qui le destinait à s’occuper des églises diocésaines à restaurer, avant d’être nommé « faute d’un architecte aussi spécialisé » à la tête des travaux de Notre-Dame, entre 1815 et 1844. Plantar se trouvait lui aussi lié à cette entité en tant qu’entrepreneur de la Ville de Paris favorisé, à ce titre, dans l’obtention des chantiers dépendant de cette administration. Au cours de cette période, trois phases peuvent être distinguées. La première, entre 1815 et 1819, consista en quelques réfections éparses, qui se confondirent avec des travaux d’aménagements ordinaires, le temps pour Godde de prendre la mesure des restaurations à entreprendre pour faire perdurer l’édifice. « S’il ne nous est plus permis de faire des monuments de cette importance, du moins qu’il nous reste la gloire de les conserver, ne fusse que comme une tradition de l’histoire. » Dès lors, et ce jusqu’en 1825 environ, l’action menée à Notre-Dame se fit de manière plus structurée, à partir d’un devis établi pour plus de 700 000 F. Sur le chantier, plusieurs corps de métiers se mirent à l’ouvrage – maçons, vitriers, sculpteurs-ornemanistes et figuristes – essentiellement au niveau de la partie septentrionale. Cette seconde phase constitua le premier essai sérieux de restauration, dont l’initiative fut reprise une quinzaine d’années plus tard. Le constat de dégradation de la cathédrale se fit dès lors de plus en plus alarmant. En 1834, Godde rédigea un projet de restauration dans lequel il s’inquiétait de « l’état de souffrance et de ruine [de l’édifice] qui inspire la pitié ». Pour l’architecte, « aucune église en France n’a été frappée d’oubli comme la métropole de Paris ». Les travaux reprirent finalement en 1840 et Plantar fut à nouveau chargé de l’ornementation, tandis que les figures furent confiées à Théophile Caudron (1805-1848), davantage spécialisé dans la réfection ancienne, à la différence de son prédécesseur, Edme Gaulle (1769-1841). Ces travaux, menés à une période relativement précoce dans l’histoire de la restauration telle qu’elle s’est construite depuis, mirent en exergue quelques enjeux majeurs appelés à revenir régulièrement dans les débats sur la déontologie à adopter dans de pareils cas. La question des matériaux se fit ainsi relativement centrale. Godde devint le fervent défenseur de l’usage du ciment, et plus largement des innovations industrielles dans les restaurations d’édifices anciens : le mastic de Dhil à Notre-Dame, le ciment de Molesme ou de Vassy à l’Hôtel de Ville de Paris, par exemple. En cela, Godde et Plantar – qui assura d’ailleurs les travaux sur ce dernier chantier – partagent une certaine affinité, le sculpteur manifestant lui aussi une appétence toute particulière pour ces matériaux, qu’il employa du reste à la chapelle du château d’Amboise, à Versailles ou encore à Fontainebleau. De même, la question du mobilier religieux, de son style, commença elle aussi à émerger. Godde fit le choix d’une certaine cohérence esthétique entre le décor restauré et l’orgue qu’il commanda en 1841 pour agrémenter le chœur de la cathédrale, dont le décor sculpté est également dû au ciseau de Plantar. L’œuvre d’Étienne-Hippolyte Godde, et en filigrane celle de son ornemaniste, permet ainsi de suivre la généalogie des pratiques et des praticiens de la restauration telle que celle-ci se dessine durant le premier tiers du xixe siècle. D’architecte en architecte, de chantier en chantier, s’opéra le passage d’une génération passionnée par l’Antiquité, qui découvre parfois timidement la cause gothique, à une autre, bercée par l’émergence du goût pour un passé médiéval. L’historiographie souligne, à juste titre, l’arrivée de Viollet-le-Duc comme un bouleversement majeur, initiateur d’une réflexion spécifiquement appliquée au domaine de la restauration des édifices anciens. Elle fut en réalité aussi le fruit des deux décennies qui précédèrent son irruption. Le jeune architecte connut, fréquenta en effet les protagonistes de ces premières restaurations – Godde, Lassus, Plantar – et c’est à l’aune de ces expérimentations qu’il forgea progressivement la doctrine qui devait le hisser en figure de proue de la discipline. Philibert-Joseph Girault de Prangey, Porte du cloître de la cathédrale Notre-Dame de Paris, photographie, 1841, Est Reserve Eg7-552, Bibliothèque nationale de France, Paris Jean-Baptiste Plantar, Album de dessins d’architecture et d’art décoratif, MS 675, fol. 12 recto, INHA, Paris Indications bibliographiques Marie-Christine Ferrand de la Conté-Gélis, L’architecte Étienne-Hippolyte Godde (1781-1869), thèse de l’École des Chartes, École des Chartes, Paris, 1980. Jean-Michel Leniaud, « Débats sur le bon emploi du néo-gothique. L’affaire du maître-autel de la cathédrale de Clermont-Ferrand », Bulletin de la Société de l’Histoire de l’Art Français, 1979, p. 245-258. Jean-Michel Leniaud, Jean-Baptiste Lassus, Lire la suite

     
  • « Notre-Dame : les décors retrouvés de Viollet-le-Duc »

    Conférences passées

    Le 12 mars 2025, Marie-Hélène Didier, conservateur général du patrimoine, et Marie Parant, restauratrice de peintures, ont donné une conférence sur les décors retrouvés de Viollet-le-Duc. Le chantier de la cathédrale a permis la restauration de toutes les peintures murales imaginées par Eugène Viollet-le-Duc. La conférence sera l’occasion d’aborder dans une première partie les techniques de restauration employées. La seconde partie sera consacrée aux décors retrouvés, leur organisation, leurs thèmes, leurs coloris. La conférence a eu lieu à Notre-Dame : 6, parvis Notre-Dame, grille d’accès au presbytère sur la droite de la façade occidentale, à 18 h.Cheminement vers la salle au sud de la sacristie accessible avec une dizaine de marches.

     
  • Festival du Marais Chrétien 2025

    Autres actualités

    Le Festival du Marais Chrétien revient pour sa 26e édition du 21 mars au 1er avril 2025, avec pour thème « l’écoute ». Cet événement culturel, organisé par les paroisses catholiques et protestantes du Marais en collaboration avec l’association Art, culture et Foi / Paris, vise à mettre en lumière le riche patrimoine artistique et spirituel du quartier. Au programme, une quarantaine de manifestations variées : concerts, théâtre, expositions, cinéma, conférences et visites guidées. Accessible à tous, le Festival du Marais Chrétien invite à découvrir la richesse du Marais. L’entrée est libre pour la majorité des événements. Ne manquez pas le mercredi 26 mars, trois conférences sur Notre-Dame, dont la première sera donnée par Philippe Plagnieux, vice-président de la Société des Amis de Notre-Dame de Paris : 14h-15h – Autour du jubé de Notre-Dame par Philippe Plagnieux, professeur à l’École des Chartes 15h30-17h – Présentation du programme Émotions/Mobilisations du Chantier scientifique Notre-Dame de Paris par Claudie Voisenat, anthropologue, Ingénieure de recherche CNRS, coordinatrice du Groupe de Travail Notre-Dame de Paris : retour sur une émotion plurielle par Sylvie Sagnes, chargée de recherches au CNRS et Maelle Diarra, doctorante en sciences politiques 17h15-18h30 – Les orgues de Notre-Dame, entre sacralité religieuse et sacralité patrimoniale par Christophe d’Alessandro, acousticien, directeur de recherche au CNRS, organiste titulaire de Sainte-Élisabeth, et Marie Baltazar, anthropologue, chercheure à l’Université Toulouse 2 Pour en savoir plus, retrouvez toutes les infos sur le site d’Art Culture et Foi Paris

     

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